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Subject: La blague du jour.
Un parisien a repéré une maison de campagne et s'apprête à l'acheter lorsqu'il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur:
- Vous comprenez, j'ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait Enlever les ruches !
Le paysan répond ouvertement :
- Mes abeilles n'ont jamais piqué qui que ce soit! Tenez, je vous propose un truc, je vous attache tout nu à l'arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne !
Le type se dit qu'une heure, c'est vite passé et que le jeu en vaut la Chandelle. Une heure après, le paysan retourne voir le parisien et le voit tout pâle comme vidé !
- NON DI DIOU ! !! Elles vous ont piqué ?
- Oh non ! Elles ont été sympa les abeilles mais le petit veau, lui, là, il y a longtemps qu'il a perdu sa mère ? ? ?
- Vous comprenez, j'ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait Enlever les ruches !
Le paysan répond ouvertement :
- Mes abeilles n'ont jamais piqué qui que ce soit! Tenez, je vous propose un truc, je vous attache tout nu à l'arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne !
Le type se dit qu'une heure, c'est vite passé et que le jeu en vaut la Chandelle. Une heure après, le paysan retourne voir le parisien et le voit tout pâle comme vidé !
- NON DI DIOU ! !! Elles vous ont piqué ?
- Oh non ! Elles ont été sympa les abeilles mais le petit veau, lui, là, il y a longtemps qu'il a perdu sa mère ? ? ?
je la connaissais mais avec les marseillais! sinon tu sais à quoi on reconnait une vielle bagnole à Marseille? A l'autocollant Champion de France collé à l'arrière!
je reconnais que celle-ci me fait marrer par contre ^^
Le juge et la vieille dame
> Le juge : Quel est votre âge?
> La vieille : J'ai 86 ans.
> Le juge : À la date du 1er avril de l'année dernière, Racontez-nous, avec vos propres mots, ce qui vous est arrivé.
> La vieille : J'étais assise sur la balancelle de mon balcon, C'était en fin d'après-midi, il faisait bon et doux. Un jeune homme est venu s'asseoir à côté de moi.
> Le juge : Vous le connaissiez ???
> La vieille : Non, mais il était très amical.
> Le juge : Que s'est il passé ensuite ?
> La vieille : Après une petite conversation délicieuse, il a commencé à me caresser la cuisse.
> Le juge : Vous l'en avez empêché?
> La vieille : Non !!
> Le juge : Pourquoi?
> La vieille : C'était agréable. Plus personne ne m'avait jamais fait ça depuis que mon Albert est mort, il y a 30 ans.
> Le juge : Que s'est-il passé ensuite?
> La vieille : Je suppose que, comme je ne lui ai rien dit, il a continué et a commencé à me caresser les seins.
> Le juge : Vous l'en avez empêché alors?
> La vieille : Bien sûr que non.
> Le juge : Pourquoi?
> La vieille : Parce que, votre honneur, il m'a fait me sentir vivante et excitée. Je ne m'étais pas sentie... aussi mouillée et pleine de désir depuis des années!
> Le juge : Que s'est-il passé ensuite?
> La vieille : Et bien, Monsieur le juge, que pouvait véritablement faire une femme chaude comme la braise, à la tombée de la nuit, devant un jeune homme avide d'amour ? Nous étions seuls. . . écartant mes jambes en douceur, je lui ai dis: 'Prends-moi maintenant !!'
> Le juge : Et il vous a prise?
> La vieille : Non. Il a crié 'Poisson d'avriiiiiiiiiiLLLL!!!!! Et c'est à ce moment là que je lui ai tiré dessus à cet enculé!!!!
> Le juge : Quel est votre âge?
> La vieille : J'ai 86 ans.
> Le juge : À la date du 1er avril de l'année dernière, Racontez-nous, avec vos propres mots, ce qui vous est arrivé.
> La vieille : J'étais assise sur la balancelle de mon balcon, C'était en fin d'après-midi, il faisait bon et doux. Un jeune homme est venu s'asseoir à côté de moi.
> Le juge : Vous le connaissiez ???
> La vieille : Non, mais il était très amical.
> Le juge : Que s'est il passé ensuite ?
> La vieille : Après une petite conversation délicieuse, il a commencé à me caresser la cuisse.
> Le juge : Vous l'en avez empêché?
> La vieille : Non !!
> Le juge : Pourquoi?
> La vieille : C'était agréable. Plus personne ne m'avait jamais fait ça depuis que mon Albert est mort, il y a 30 ans.
> Le juge : Que s'est-il passé ensuite?
> La vieille : Je suppose que, comme je ne lui ai rien dit, il a continué et a commencé à me caresser les seins.
> Le juge : Vous l'en avez empêché alors?
> La vieille : Bien sûr que non.
> Le juge : Pourquoi?
> La vieille : Parce que, votre honneur, il m'a fait me sentir vivante et excitée. Je ne m'étais pas sentie... aussi mouillée et pleine de désir depuis des années!
> Le juge : Que s'est-il passé ensuite?
> La vieille : Et bien, Monsieur le juge, que pouvait véritablement faire une femme chaude comme la braise, à la tombée de la nuit, devant un jeune homme avide d'amour ? Nous étions seuls. . . écartant mes jambes en douceur, je lui ai dis: 'Prends-moi maintenant !!'
> Le juge : Et il vous a prise?
> La vieille : Non. Il a crié 'Poisson d'avriiiiiiiiiiLLLL!!!!! Et c'est à ce moment là que je lui ai tiré dessus à cet enculé!!!!
Lol la blague de la bière!!!!!
Effectivement ce soir là j'ai même eu l'impression d'avoir des seins... Mais en fait je rêvais éveiller!!!
:D
Et toi rebloch aussi on aurait dit une meuf, tu as fini à 4 pattes!!!!
8D
8D
Effectivement ce soir là j'ai même eu l'impression d'avoir des seins... Mais en fait je rêvais éveiller!!!
:D
Et toi rebloch aussi on aurait dit une meuf, tu as fini à 4 pattes!!!!
8D
8D
^^
elle n'est pas de moi mais j'étais vraiment mort de rire en la lisant ... donc je savais qu'elle plairait certainement à quelques autres personnes ;-)
elle n'est pas de moi mais j'étais vraiment mort de rire en la lisant ... donc je savais qu'elle plairait certainement à quelques autres personnes ;-)
Pour nous changer de nos pixels en short :
[youtube]V5tSLZLhvOs[/youtube]
[youtube]V5tSLZLhvOs[/youtube]
Mortel...un rouquin qui jongle!
J'le verais bien à l'OM à la place de Ben Arfa :D
J'le verais bien à l'OM à la place de Ben Arfa :D
2007, sommet du G8.
Dans l'hôtel, Ségolène Royal prend tranquillement son petit
déjeuner : café, croissant, baguette, beurre et confiture.
George W. Bush, mâchant son chewing-gum s'installe en face
d'elle.
Bien que Ségolène l'ignore, George engage la conversation :
"George : Vous les français, vous mangez tout le pain ?"
Ségolène (de mauvaise humeur) : "Oui. "
George (après avoir fait une grosse bulle avec son
chewing-gum):
"Nous en Amérique, on mange juste l'intérieur. La croûte, on la met dans des containers, on recycle en faisant des croissants et on les vend aux Français. "
George a un petit sourire sur le visage, Ségolène écoute en silence.
George persiste : "Vous mangez la confiture avec le pain ? "
Ségolène : "Oui."
George (une grosse bulle éclate sur sa figure et d'un coup
de langue habile, il ravale son chewing-gum et continue à mâcher) :
"Nous pas, en Amérique, on mange des fruits frais au petit déjeuner. Et on met les pelures, les pépins et les restes dans un containers, on les recycle
en faisant de la confiture et on la vend aux Français."
Ségolène demande alors :
"Faites-vous l'amour en Amérique ? George : "Yeah bien sûr, très souvent !" dit-il avec un large
sourire.
Ségolène : "Et que faites vous des préservatifs utilisés ?"
George : "Et bien comme tout le monde, on les jette."
Ségolène : "Pas nous, une fois utilisés, on les recycle
dans des containers, on fait du chewing-gum et on le vend aux Américains !"
Dans l'hôtel, Ségolène Royal prend tranquillement son petit
déjeuner : café, croissant, baguette, beurre et confiture.
George W. Bush, mâchant son chewing-gum s'installe en face
d'elle.
Bien que Ségolène l'ignore, George engage la conversation :
"George : Vous les français, vous mangez tout le pain ?"
Ségolène (de mauvaise humeur) : "Oui. "
George (après avoir fait une grosse bulle avec son
chewing-gum):
"Nous en Amérique, on mange juste l'intérieur. La croûte, on la met dans des containers, on recycle en faisant des croissants et on les vend aux Français. "
George a un petit sourire sur le visage, Ségolène écoute en silence.
George persiste : "Vous mangez la confiture avec le pain ? "
Ségolène : "Oui."
George (une grosse bulle éclate sur sa figure et d'un coup
de langue habile, il ravale son chewing-gum et continue à mâcher) :
"Nous pas, en Amérique, on mange des fruits frais au petit déjeuner. Et on met les pelures, les pépins et les restes dans un containers, on les recycle
en faisant de la confiture et on la vend aux Français."
Ségolène demande alors :
"Faites-vous l'amour en Amérique ? George : "Yeah bien sûr, très souvent !" dit-il avec un large
sourire.
Ségolène : "Et que faites vous des préservatifs utilisés ?"
George : "Et bien comme tout le monde, on les jette."
Ségolène : "Pas nous, une fois utilisés, on les recycle
dans des containers, on fait du chewing-gum et on le vend aux Américains !"
C'est un petit garçon qui interroge son papa :
"C'est quoi la différence entre être énervé et être excité ?"
"C'est simple mon fils. Tu vas comprendre tout de suite...il y a 20 ans en arrière ta mère elle m'excitait et maintenant elle m'énerve !"
"C'est quoi la différence entre être énervé et être excité ?"
"C'est simple mon fils. Tu vas comprendre tout de suite...il y a 20 ans en arrière ta mère elle m'excitait et maintenant elle m'énerve !"
La question est de savoir si les ordinateurs sont de sexe masculin ou féminin.
Lors d'une étude faite évidemment aux U.S.A., on a demandé à deux groupes d'experts si un ordinateur faisait référence à un objet de type masculin ou féminin.
Le premier groupe d'experts était constitué de femmes, le deuxième d'hommes. Chaque groupe devait trouver quatre raisons pour justifier le genre masculin ou fémin d'un ordinateur...
Le groupe de femmes conclut que l'ordinateur était du genre masculin pour les raisons suivantes :
1) pour capter son attention, il faut l'allumer ;
2) il a plein d'informations, mais aucune imagination ;
3) il est supposé vous aider, mais la plupart du temps il est le problème majeur ;
4) dès que vous en avez un, vous réalisez que si vous aviez attendu un peu plus longtemps, vous auriez eu un modèle plus performant...
Le groupe d'hommes arriva à la conclusion que l'ordinateur était de genre féminin pour les raisons suivantes :
1) personne, sauf son créateur, ne comprend sa logique interne ;
2) le langage qu'il utilise pour dialoguer avec un autre ordinateur est incompréhensible ;
3) la moindre erreur est stockée en mémoire pour être ressortie au moment le plus inopportun ;
4) dès que vous en avez un, vous découvrez que vous devez dépenser la moitié de votre salaire en accessoires...
Lors d'une étude faite évidemment aux U.S.A., on a demandé à deux groupes d'experts si un ordinateur faisait référence à un objet de type masculin ou féminin.
Le premier groupe d'experts était constitué de femmes, le deuxième d'hommes. Chaque groupe devait trouver quatre raisons pour justifier le genre masculin ou fémin d'un ordinateur...
Le groupe de femmes conclut que l'ordinateur était du genre masculin pour les raisons suivantes :
1) pour capter son attention, il faut l'allumer ;
2) il a plein d'informations, mais aucune imagination ;
3) il est supposé vous aider, mais la plupart du temps il est le problème majeur ;
4) dès que vous en avez un, vous réalisez que si vous aviez attendu un peu plus longtemps, vous auriez eu un modèle plus performant...
Le groupe d'hommes arriva à la conclusion que l'ordinateur était de genre féminin pour les raisons suivantes :
1) personne, sauf son créateur, ne comprend sa logique interne ;
2) le langage qu'il utilise pour dialoguer avec un autre ordinateur est incompréhensible ;
3) la moindre erreur est stockée en mémoire pour être ressortie au moment le plus inopportun ;
4) dès que vous en avez un, vous découvrez que vous devez dépenser la moitié de votre salaire en accessoires...