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Subject: school

2010-01-24 19:05:03
Kunde er paar foutjes uithalen? :D
2010-01-24 19:06:06
Begint al eens met:
When the city of Aalst is mentioned, most Belgians spontaneously ...
2010-01-24 19:06:13
'' In de 19th century ''
2010-01-24 19:08:06
Jaa das gewoon vergeten maar al die andere zinnen zitten ook vol fouten blijkbaar xD
2010-01-24 19:08:21
When I say Aalst, probably everybody thinks about onions. It's a mockingname that they used in the 19th century but today it refers to a civilian of Aalst.
Aalst is a very beautiful city. You can go there for clothes because they have all kinds of stores, sports stores, Clothing stores, shoes stores, etc... You can also go there tando grab something to eat because there are lots of tea-rooms pizzeria's, etc...

zo zou ik het op het eerste zicht aanpakken
ma dan achteraf nog mooiere woorden gebruiken :)
(edited)
(edited)
2010-01-24 19:11:35
That's also English with a lot of hair on it ;)
Grtz
2010-01-24 19:22:17
When i mention Aalst.. is denk ik al een leuk begin =p
2010-01-24 19:23:24
idd da bedoel ik met mooiere woorden, nu geen zin vo te zoeken
2010-01-26 17:06:50
Laatste zinnekes vr mijn opdracht :D

Aan ontspanningsmogelijkheden ook geen gebrek in Aalst. Ze hebben 2 bioscopen, een heel groot park waar je zowat elke sport kan doen, en ze hebben ook een heel groot zwembad.
2010-01-26 17:40:19
Also no lack of recreation(al) facilities in Aalst. There are 2 cinemas, a huge park where you can practise almost any sport, and there is a very large swimming pool aswell.
2010-01-27 17:43:35
La polémique sur le voile en Turquie
Après des mois d’affrontements entre laïcs et religieux en Turquie, l’AKP, parti islamo-conservateur au pouvoir, et son allié le MHP (nationaliste) ont eu gain de cause : dans la nuit du 6 au 7 février, le Parlement votait l’entrée du voile dans les universités publiques. Depuis, la polémique n’a cessé d’enfler : des manifestantes ont brûlé le tchador dans la rue, des jeunes filles turques en jupes courtes ont eu les jambes vitriolées. Même l’Union européenne et Condoleezza Rice ont émis un avis (et pas le même...)

L’armée, la magistrature et les universités contre l’amendement

Pendant que les parlementaires votaient, les manifestants, répondant à l’appel de dizaines de syndicats et d’organisations féministes, scandaient dans le centre d’Ankara : "La Turquieest laïque et le restera !" Le port du voile est interdit dans les universités turques depuis 1980 et son autorisation nécessite un amendement de la Constitution, amendement voté en cette nuit fatidique, sans surprise toutefois puisque que l’AKP (Parti pour la justice et le développement) et le MHP (Parti de l’action nationaliste) détiennent la majorité des sièges.

Face au tollé, Abdallah Gül, président de la République(dont la femme est voilée), et Recep Tayyip Erdogan, Premier ministre et chef de l’AKP (parti issu de la mouvance islamiste), n’ont cessé de chercher à calmer le jeu en déclarant à qui voulait bien les entendre leur attachement à la laïcité. Mais nul n’est dupe et, Deniz Baykal, chef du parti d’opposition CHP (Parti républicain du peuple), a fait part de son intention de porter cet amendement devant la Cour constitutionnelle. Quelques semaines plus tard, le procureur de la Cour de cassation turque demandait l’interdiction de l’AKP.Après quelques hésitations et malgré les menaces de l’Union européenne, la Cour a accepté de recevoir la plainte.

Les femmes sont les premières à manifester leur opposition à l’amendement : plusieurs manifestations ont été organisées par des associations féministes. L’armée, la magistrature et la majorité des universitaires (mais pas tous, certains ayant signé une pétition pour "la liberté dans les universités") se sont également massivement levées contre cette brèche faite au principe de laïcité. Des dirigeants d’universités ont en effet estimé que "l’amendement proposé va accélérer l’éradication du principe républicain de laïcité". Ce sont les fondements mêmes de l’Etat turc qui seraient menacés par le spectre du foulard. Suleyman Demirel, ancien président et Premier ministre turc, pendant quarante ans à la direction du gouvernement, a déclaré : "Je souffre énormément, j’ai énormément de chagrin".

Une menace pour les fondements mêmes de l’Etat turc

Pourquoi un tel émoi ? En France, le foulard est interdit dans les écoles, mais autorisé dans les universités. Rien de bien terrible à cela, pourrait-on penser. Mais, en Turquie, la laïcité est rigoureusement appliquée et l’armée en est la gardienne. La Turquie est officiellement un Etat laïc depuis Atatürk, ou plus exactement un Etat "républicain, nationaliste, populiste, étatiste, laïc et réformateur", les six principes d’Atatürk. Et la religion est sous le contrôle de l’Etat (elle n’en est pas seulement séparée comme en France).

Si l’Etat est rigoureusement laïc, la société est toutefois très majoritairement musulmane : le Wall Street Journalrévélait en 2004 que 95 % des Turcs sont musulmans et que 72 % observent les prescriptions de l’islam. Deux tiers des femmes turques porteraient le voile islamique. Mais selon Le Monde (2 février 2008), la Turquie est un "pays à la population de religion musulmane à plus de 99 %".

Une population très majoritairement musulmane

Le taux de musulmans pratiquants est l’un des arguments avancés par le Premier ministre Erdogan pour défendre l’amendement à la Constitution : Erdogan ne manque pas de rappeler que selon les sondages, 70 % des Turcs seraient favorables au foulard dans les universités.

Les femmes voilées n’ayant pas le droit d’entrer à l’université, elles ne peuvent suivre des études supérieures. Erdogan affirme ainsi vouloir démocratiser l’accès à l’enseignement supérieur. En effet, plusieurs jeunes filles abandonnent l’enseignement à la fin du lycée en raison de l’interdiction de s’y rendre voilées.

Un argument repris par une enseignante de l’université de Bosphore, qui va plus loin, et dont Le Tempsrapporte ainsi les propos : "L’interdiction actuelle est une forme de discrimination envers les femmes. Les hommes qui partagent les mêmes idées que ces étudiantes voilées sont libres d’entrer sur le campus !" Exact : les musulmans très pieux ne sont pas encombrés du voile. Certains, d’ailleurs, revendiquent le droit de l’être aussi, à leur manière :

Le Middle East Media Research Instituterapporte que, pour le président des anciens élèves de l’Imam Hatip (écoles islamistes), la décision d’autoriser le voile dans les universités ne suffit pas : les autres accoutrements religieux, comme les manteaux de prière, les capes et les pantalons amples devraient aussi être permis. Ainsi, face aux manifestations contre le voile à Ankara, d’autres manifestants exprimaient leur outrage face à l’insuffisance de l’amendement proposé.

Le vice-président de l’AKP, Egemen Bagis, a lui aussi trouvé la mesure insuffisante, pour d’autres raisons : le « turban » devrait être porté librement au Parlement également, estime-t-il. Et, bien sûr, dans les autres domaines du secteur public, comme l’ont déjà demandé des étudiants pieux.

Un amendement garantissant le droit des femmes à ne pas être voilées ?

La minorité des Alevis s’est révoltée contre cet amendement qui défend les droits des intégristes musulmans (ce qui en soi ne les dérange pas) alors que l’AKP et le MHP demeurent toujours aussi discriminatoires envers les minorités turques non musulmanes. Le MEMRI cite ainsi le président des Alévis : "L’AKP prétend vouloir mettre au point une Constitution civile. Il n’y a toutefois pas de liberté de croyance ni d’égalité dans la constitution qu’ils préparent : il n’y a que Charia et turban".

Certains s’inquiètent pour les filles non voilées, prévoyant les pressions qu’elles auront peut-être à subir dans le sillage de cette brèche faite à la laïcité. Déjà, deux jeunes filles en jupe courte ont subi une attaque à l’acide et certains craignent qu’il soit nécessaire d’ajouter un autre amendement à la Constitution, garantissant le droit des femmes à ne pas être voilées : c’est l’avis du Pr Ozbudun.

Conséquences

En Turquie, les premières conséquences de la décision parlementaire se sont déjà fait sentir, avec l’irruption de filles voilées dans les universités. La visibilité des pratiques religieuses musulmanes s’est accrue, comme le note la presse turque à grand tirage : la prière islamique est parfois effectuée en plein centre commercial ou sur l’autoroute, relate-t-elle. Et, au niveau international, certains pays ont manifesté leur satisfaction face à la nouvelle mesure. Premier en ligne : l’Iran.

L’Union européenne a, pour sa part, apporté son soutien à Erdogan, qui est allé jusqu’à lui demander d’exercer des pressions contre ses détracteurs. L’Union considère comme abusive la demande d’interdiction de l’AKP, le parti au pouvoir. Dans une allocution, Condoleezza Rice s’est montrée plus réservée, évitant d. prendre parti, mais considérant tout de même que la Turquie ne manquerait pas de régler le problème « dans le cadre de ses principes laïcs et démocratiques ».





Deze kuttekst moeten wij lezen en morgen erover debatteren

Oo
2010-01-27 17:44:57
Kuttekst?
Allé vooruit dan.. Dan krijg je eens iets deftigs te lezen met interessante inhoud.
De woorden zijn al bij al nog vrij gemakkelijk en de structuur is degelijk..
2010-01-27 19:32:54
Message deleted

2010-01-27 19:34:31
osn school doet een music 4 life actie,maar 4euro liedje:(
als het 1 euro was geweest hadk gwn alle stomme liedjes gevraagd(niet christelijke, aangezien ik opchristelijke schhol zit)
dus:
on the floor-dj mert-
gunther-ooh you touched my tralala
puta madre
i like big buts ant I can not lie..
face down ass up
enzo voort
maar voor 4euro:s
(edited)
2010-01-27 19:40:31
tis wel gunther - dingdongsong :p
2010-01-27 19:42:29
kweet ma kwas titel efjes kwijt:p